Ouverte en 1908 à la Maison mère de la Congrégation de Notre-Dame, située au 3040, rue Sherbrooke Ouest (aujourd’hui le Collège Dawson), l’École d’enseignement supérieur, aussi connue sous le nom de Superior School, offre une sélection de cours dans les trois champs d’étude suivants : arts, sciences et commerce. L’école bilingue, affiliée à l’Université Laval, accueille aussi bien les étudiantes francophones qu’anglophones, la section anglophone prenant pour sa part le nom de Notre Dame Ladies College. C’est à cette section qu’est greffée en 1909 la modeste classe commerciale de l’école Saint-Charles, située dans le quartier Pointe-Saint-Charles. C’est sœur Sainte-Catherine-du-Rosaire [Sister Saint Catherine of the Rosary] (Ann Maria Cooke) qui obtient la direction de cette institution collégiale féminine et bilingue vouée au travail administratif professionnel. L’offre de cours de la section commerciale est variée et à la fine pointe de la technologie. Outre les cours de dactylographie, l’école donne des cours de langues, de tenue de livre, de pratique des affaires, de compatibilité, de calligraphie, de miméographie, de sténographie, d’indexation et plus encore. Trente-trois étudiantes sont inscrites pour l’année scolaire 1909-1910, et ce nombre ne fait qu’augmenter au cours des années suivantes. Chaque année, d’anciennes étudiantes y reviennent parfaire ou mettre à jour leur formation académique. Entre 1916 et 1925, une autre religieuse ainsi que cinq enseignantes laïques viennent garnir les rangs des professeures de l’école. En 1918, on compte déjà cent cinquante-quatre étudiantes inscrites à la section commerciale. En 1922, l’École d’enseignement supérieur s’affilie, cette fois, à l’Université de Montréal, récemment créée. L’École grandit si rapidement qu’elle doit emménager dans les locaux du nouvel Institut pédagogique situé au 4873, avenue Westmount (aujourd’hui le Collège Marianopolis) où elle prend le nom de Collège Marguerite-Bourgeoys. Quant à la section commerciale, toujours connue sous le patronyme de Notre Dame Ladies College, elle demeure à la Maison mère. Elle devient un collège indépendant dont la mission vise à aider les femmes à prendre leur place dans la société et dans le monde des affaires, encore majoritairement occupé par les hommes. En 1935, l’école prend le nom de Notre Dame Secretarial School, un nom qu’elle porte jusqu’en 1980. En raison de son emplacement initial, l’école est aussi familièrement appelée The Mother House. C’est sous ce patronyme qu’elle sera la mieux connue, même après avoir déménagé, de nombreuses années plus tard, dans l’ancien édifice abritant l’École normale Jacques-Cartier pour filles. À partir de 1936, et ce, jusque dans les années 1950, les étudiantes participent annuellement à des concours de rédaction, de comptabilité et de sténographie et se démarquent parmi les étudiantes de nombreuses écoles commerciales à travers le monde. Le nombre sans cesse grandissant d’inscriptions et les classes surpeuplées de plus d’une soixantaine d’étudiantes obligent la direction à refuser de nombreuses demandes d’admission.

 

En 1956, le personnel enseignant de l’école est composé de cinq religieuses enseignantes et de quatre enseignantes laïques. Ensemble, elles prodiguent des cours à deux cents étudiantes. Au début des années 1960, la Commission Parent apporte de grands changements dans le système d’éducation au Québec, et l’école s’adapte à cette nouvelle situation. En 1962, les locaux du collège prennent de l’expansion au sein de la Maison mère. Un nouveau laboratoire de sténographie et une salle de rédaction des plus modernes sont entre autres ajoutés aux locaux déjà existants. En 1966, le conseil d’administration, formé de quatre religieuses de la Congrégation de Notre-Dame, obtient que l’école soit incorporée. En 1967, le gouvernement du Québec créé les cégeps. Une fois de plus, l’école s’adapte à cette nouvelle réalité. Pour ce faire, en 1969, le programme d’études est revu de fond en comble et s’échelonne alors sur deux ans pour les finissantes du cours secondaire et sur un an pour celles provenant du milieu collégial ou universitaire. Calqué sur celui des cégeps, le programme d’étude comprend un tronc commun de cours obligatoires tels que la littérature et les sciences humaines. Les étudiantes ont aussi accès à des cours complémentaires comme la traduction, la musique et des cours de langue (allemand et espagnol), dans l’optique de se préparer à obtenir des postes dans des sociétés œuvrant à l’étranger. Au début des années 1970, le nombre croissant d’inscriptions oblige la direction à trouver des locaux supplémentaires pour accueillir les étudiantes. C’est dans les anciens locaux de l’École normale Jacques-Cartier pour filles, alors située juste de l’autre côté de l’avenue Atwater au 2330, rue Sherbrooke Ouest (actuelle Maison mère), que sont louées trois classes supplémentaires. En 1971, on commence à apporter d’importantes rénovations au bâtiment de l’ancienne école normale (alors occupée par la Maison généralice) afin qu’il puisse contenir l’entièreté des classes du collège de secrétariat. Dès le 13 septembre de la même année, et bien que les travaux ne soient pas tout à fait terminés, toutes les étudiantes commencent les classes dans leurs nouveaux locaux. Les étudiantes peuvent notamment bénéficier de neuf salles de classe, de deux salles de dactylographie et d’une bibliothèque comptant une collection de plus de 4 500 volumes. Après plusieurs années de lutte pour faire reconnaitre le collège comme établissement d’enseignement collégial, la direction reçoit enfin l’aval du ministère de l’Éducation qui officialise son statut en 1972. C’est grâce à cette reconnaissance que les étudiantes peuvent obtenir un diplôme d’études collégiales (DEC) et que des jeunes filles provenant de tous les milieux peuvent avoir accès à l’aide financière aux études. En 1977, le collège est tenu de se doter d’un nouveau nom, cette fois bilingue. Conséquemment, il prend le nom de Collège de secrétariat Notre-Dame/Notre Dame Secretarial College. Son nouveau nom est enregistré par lettres patentes en 1980. Le nombre d’inscriptions atteint quatre cent cinquante au milieu des années 1980 alors que le nombre d’enseignantes, religieuses et laïques, passe de onze à quarante-cinq. Le collège, qui s’est doté des meilleures pratiques, est plus que jamais un leader dans le domaine du secrétariat. Le collège se dote d’un logo créé par une étudiante en 1981. En 1982, une importante restructuration du programme est entamée à la demande du ministère de l’Éducation. Le programme, plus axé sur les nouvelles technologies et le travail par ordinateur, s’exécute maintenant sur trois ans au lieu de deux. Une nouvelle terminologie est aussi employée si bien que les sciences de secrétariat sont dorénavant désignées comme « Office System Technology (OST) ». Toujours en 1982, on célèbre en grande pompe le 75e anniversaire de la fondation de l’école. Une cérémonie regroupe de nombreux invités de marque qui viennent rendre hommage à cet accomplissement. Des centaines d’anciennes étudiantes sont aussi présentes. La fête est couronnée par une messe d’action de grâce à la chapelle de la Maison mère, à l’époque située au 3040, rue Sherbrooke Ouest. La fête est suivie par un grand banquet tenu à l’Hôtel Reine Elizabeth de Montréal. Les étudiantes diplômées, encouragées à poursuivre des études universitaires, peuvent bénéficier des services d’une directrice du placement, qui les assiste dans la prolongation de leurs études à un plus haut niveau. Les relations qu’entretient le collège avec le milieu des affaires facilitent aussi grandement le recrutement d’employées qualifiées et bilingues sur le marché de l’emploi. Au cours des quatre-vingt-dix années d’existence du collège, des milliers de jeunes filles diplômées ont obtenu des postes de responsabilité au sein du monde des affaires. L’excellence du collège se mesure aussi par la formation professionnelle et continue des enseignants qui sont invités à participer à des séminaires et des conférences. L’institution a su contribuer à l’avancement de la cause féminine et a su s’adapter aux nombreux changements survenus au fil des ans dans les systèmes scolaire, politique et social. En 1992, quelques années après la refonte du programme sur trois ans imposée par le ministère de l’Éducation, le nombre d’étudiantes provenant du marché du travail est beaucoup plus élevé que celui des finissantes du secondaire et le recrutement est de plus en plus difficile. En 1994, la direction décide d’annuler son programme de trois ans destiné aux finissantes du secondaire mais conserve son programme de deux ans pour les professionnelles ainsi que son certificat de trois trimestres. Le nombre d’inscriptions diminuant sans cesse, on annonce finalement la fermeture complète du collège pour 1996, après presque quatre-vingt-dix ans d’activité.

N.B. : Ce texte a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’établissement scolaire.

Après quelques années de démarches pour convaincre les autorités institutionnelles, la Congrégation de Notre-Dame ouvre en 1908 l’École d’enseignement supérieur pour jeunes filles (en anglais, aussi désignée sous les noms de Superior School et Notre Dame Collegiate Institute), premier collège classique catholique féminin au Québec. De 1910 à 1925, il est le seul centre francophone d’études classiques pour les jeunes filles du Québec, et le seul entre 1910 et 1932 à Montréal. Plusieurs femmes de Montréal, dont Marie Gérin-Lajoie (Lacoste), priaient les religieuses de la Congrégation de fonder une école d’études supérieures puisque les jeunes Québécoises catholiques désireuses d’entreprendre de telles études devaient soit s'expatrier, soit fréquenter une institution protestante. Dès 1904, plusieurs religieuses de la Congrégation soutiennent ce projet, entre autres sœur Sainte-Olivine (Marie Antoinette Adélaïde Trudel), assistante-supérieure à Villa Maria, sœur Sainte-Agnès-Romaine (Ann Ursula Campbell), également de Villa Maria et sœur Sainte-Euphrosine (Marie-Louise-Léontine Gauthier-Marsan-Lapierre), maîtresse générale des études, mais il est mis de côté puisque le comité catholique du Conseil d’instruction publique a statué qu'« il n'était pas opportun de lancer les jeunes filles dans les études supérieures ». Au printemps 1908, le journal La Patrie, quotidien de Montréal, annonce l'ouverture en septembre de la première institution d'enseignement supérieur laïque pour les filles, donc neutre au point de vue religieux. Ce sera l’occasion d’adresser une nouvelle demande aux autorités religieuses, initiative à laquelle participent entre autres sœur Sainte-Anne-Marie (Marie-Aveline Bengle), supérieure du Mont Sainte-Marie, et sa collègue, sœur Sainte-Sophronie (Marie-Elmina Gagnon). À la suite de ces démarches, l’École d’enseignement supérieur pour jeunes filles reçoit l’approbation de Mgr Bruchési le 16 juin 1908, puis son affiliation à l’Université Laval de Montréal le 11 septembre 1908. C’est donc le 8 octobre suivant qu’est inauguré le premier collège classique catholique pour jeunes filles dans les locaux de la Maison mère de la Congrégation de Notre-Dame, au 3040, rue Sherbrooke ouest. En 1909, la classe commerciale de l’école Saint-Charles, fondée en 1907, déménage à la Maison mère et est intégrée à l'École d’enseignement supérieur sous le nom de Notre Dame Ladies CollegeL’enseignement de l’École d’enseignement supérieur destiné aux étudiantes francophones et anglophones est réparti en trois sections : lettres, sciences et commerce. En plus des religieuses, des professeurs laïques sont engagés pour dispenser les cours réguliers et d’autres cours spéciaux qui donnent droit à des diplômes et certificats. En 1922, l’institution s’affilie à l’Université de Montréal et prend le nom d’École d’enseignement secondaire, pour être rebaptisée en 1926 collège Marguerite-Bourgeoys (la section anglophone conserve le nom Notre Dame Ladies College). À partir de l'été 1926, l’institution (sauf la section commerciale qui devient un collège privé) s’installe dans l’édifice nouvellement construit pour l’Institut pédagogique (Institute of Pedagogy), situé au 4873, avenue Westmount. L’Institut pédagogique est une école normale supérieure dont le but est d’assurer la formation plus complète des femmes qui se consacrent à l’enseignement ; il décerne un diplôme supérieur de pédagogie et des grades universitaires. Dès 1912, sœur Sainte-Anne-Marie, alors maîtresse générale des études, expose aux autorités religieuses et civiles la nécessité de fonder une telle institution. À partir du 8 septembre 1916, un cours de pédagogie postscolaire est donné le samedi à la Maison mère. Ce sont les prémisses de l’École normale supérieure qui est constituée officiellement grâce à la Loi relative à l'établissement d'un Institut pédagogique à Montréal (loi 42e, 1re session, 16e législature, 14 George V), votée le 13 février 1924 et sanctionnée par le lieutenant-gouverneur le 13 avril 1924. La loi entre en vigueur le 15 mars 1924. Le gouvernement provincial accorde une aide financière. Les travaux pour la construction d’un nouvel édifice débutent le 17 avril 1925. La cérémonie de bénédiction de la pierre angulaire a lieu le 8 octobre 1925. En décembre 1925, sœur Sainte-Anne-Marie et sœur Marie-Élisa (Adelaïde Sophie Anna Marie Lavergne), collaboratrice pour la section anglaise, partent pour l’Europe dans le but de visiter les principaux centres pédagogiques et de s’informer des plus récentes méthodes d’enseignement et des exigences de formation professionnelle des institutrices. Elles sont de retour pour l’ouverture de l’établissement. Le 29 octobre 1926 marque l’ouverture officielle de l’Institut pédagogique (en anglais, parfois appelé Teacher Training College). L’institution dispense le cours normal sous le nom de « cours régulier fermé » et chapeaute un ensemble de programmes et de formations parallèlement à celui du collège Marguerite-Bourgeoys. On retrouve les cours de la section des beaux-arts, appelée École normale de dessin (ouverte en 1925), dont certains sont donnés par des professeurs de l’École des beaux-arts de Montréal. On retrouve également l’École normale de musique créée en 1926 et qui connaîtra un rayonnement remarquable. Le 10 mars 1927, l’Institut pédagogique est affilié à l’Université de Montréal. Sa charte d’affiliation lui permet d’offrir le diplôme supérieur d’enseignement ainsi que les grades en pédagogie : baccalauréat, licence et doctorat. Des cours de vacances sont aussi offerts pour favoriser le perfectionnement des institutrices laïques et religieuses.

 

L’établissement continue de se développer au fil des années. L’École de chant liturgique de l’Institut pédagogique ouvre ses portes le 22 novembre 1928 et cessera ses activités en 1969. Le 15 mars 1929, le diplôme supérieur de l’Institut pédagogique est reconnu comme officiel, c’est-à-dire égal aux brevets supérieurs d’enseignement des écoles normales masculines. En 1931, Marie Gérin-Lajoie, l'une des premières bachelières, ouvre l'École d'action sociale à l'Institut pédagogique. Les cours se poursuivent probablement jusqu’en 1943. En 1932, la section d’enseignement ménager de l’Institut pédagogique se structure et conduit à la création de l’École supérieure des arts et métiers. Cette école demeure une annexe de l’Institut pédagogique jusque dans les années 1950. Elle change ensuite d’orientation et offre des cours du soir de culture personnelle aux adultes sous le nom d’École d’arts et métiers dans les locaux situés au 3433, rue Stanley. Entre 1935 et 1937, la section commerciale prend le nom de Notre Dame Secretarial School (désignée aussi sous le nom The Mother House). En 1936, on note la création de cours de pédagogie spécialisée pour l’enseignement des enfants d’âge préscolaire et d’un centre de formation pour l’éducation des enfants atteints de déficience intellectuelle et physique qui cessera ses activités en 1954. En 1937, sœur Sainte-Théophanie (Marie Anne Graziella Janvière Gauthier), collaboratrice de sœur Sainte-Anne-Marie depuis les premières heures, prend la direction de l’Institut pédagogique. En 1943, la section anglophone du collège Marguerite-Bourgeoys devient autonome et prend le nom de Marianopolis College. L’essor de l’Institut pédagogique continue et le manque d’espace se fait sentir. Dans les années 1950, l’édifice est agrandi par l’ajout d’ailes qui abritent entres autres des classes, des studios pour les arts, des chambres, une chapelle, un auditorium et un amphithéâtre. À la suite de la réforme de 1953-1954 du Département de l'instruction publique, la section pédagogique de l’établissement, dit « cours régulier fermé », acquiert une nouvelle entité légale et devient l’École normale de l’Institut pédagogique par arrêté ministériel le 11 juin 1953. Le premier principal est l’abbé Georges Levasseur. Le 10 février 1955, le collège Marguerite-Bourgeoys est constitué en corporation (loi provinciale, 3e session, 24e législature, 3-4 Élisabeth II, chapitre 143), loi sanctionnée le 10 février 1955. Une maternelle de démonstration est annexée à la section de formation en éducation préscolaire en septembre 1955. En 1965, dans la foulée de la commission Parent, l’Université de Montréal annonce la fondation d’une Faculté des sciences de l’éducation. L’École normale de l’Institut pédagogique y est affiliée de 1965 à 1969, puis absorbée lors de la fermeture de l’Institut pédagogique comme centre de formation des maîtres de niveau universitaire. Le 11 janvier 1968, le collège Marguerite-Bourgeoys et l’Institut pédagogique (incluant l’École normale de musique) sont constitués en une seule corporation inscrite sous le nom d’Institut Marguerite-Bourgeoys (3-4 Élisabeth II, chapitre 143, arrêté du conseil no 59). Cette institution confessionnelle offre un enseignement général – préscolaire (avec des classes maternelles pour l’observation et l’expérimentation pour la formation des maîtres), précollégial, collégial ainsi que des cours universitaires. Pour sa part, l'École normale de musique, en pleine expansion, est affiliée par un contrat de service à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) en juillet 1969 à la suite des recommandations du Rapport Rioux. Le programme proposé prend la forme d’un module de musique pour la formation des maîtres. En 1969, le collège Marguerite-Bourgeoys est déclaré d’intérêt public par le ministère de l’Éducation. Les premiers diplômes d’études collégiales sont octroyés en juin 1970, et le collège privé ouvre ses portes aux garçons en septembre 1971. En 1972, la Congrégation demande une nouvelle incorporation de l’Institut Marguerite-Bourgeoys sous le régime de la loi modifiant la charte des Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame (11-12 Élisabeth II, chapitre 124 des lois de 1963, session 1; enregistré le 8 novembre 1972, libro 1536, folio 48). Deux ans plus tard, l’Institut pédagogique cesse complètement ses activités, et l’École normale de musique est absorbée par l’UQAM en 1976.

N.B. : Ce texte a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’établissement scolaire.