Bien que la Congrégation de Notre-Dame ne soit pas présente dans la mère patrie, elle en tire des revenus. Même après la cession du Canada en 1763, la communauté continue de recevoir de France des rentes annuelles substantielles. Des intermédiaires, des procureurs, des chargés d'affaires et des bienfaiteurs français rendent différents services à la Congrégation : achats et envois de fournitures, administration de biens ou intercessions auprès de différentes autorités.